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Dans la section drôlement nommée «Musique

classique», nous pouvons retrouver

«Cendrillon – La chanson du film». Ceci est une

démo originale plus ou moins intéressante de la

chanson qui introduit le long-métrage. Suit une

sélection de 7 chansons abandonnées, incluant

3 démos originales des deux chansons incluses

dans les scènes supprimées précédentes, 2 des

7 étant des versions alternatives de «Cendrillon

au travail». Ce supplément est présenté dans

une qualité globale impressionnante vu l'âge

des enregistrements(Exception faite de «I Lost

My Heart at the Ball», qui est à peine écoutable tant la trame saute).

 

Suivent des extraits d'émissions de radio récupérés des années 50. Le premier a comme intérêt d'entendre la voix de Cendrillon chanter «Quand on prie la bonne étoile» du film «Pinocchio». Il est d'ailleurs présenté dans une qualité presque irréprochable. Ce n'est toutefois pas le cas du deuxième, qu'on a peine à entendre, mais qui est tout de même intéressant puisqu'il raconte l'histoire de la sélection de la voix de Cendrillon, ainsi que la chanson «Tendre rêve» interprétée par celle-ci. Le troisième est beaucoup moins intéressant, reprenant simplement la bibliographie de cette même voix.

 

Ensuite, «Les coulisses de la production

classiques» s'offrent à nous. Notre premier

choix s'avère être «Un véritable conte de fée: La

production de Cendrillon», un making-of du

film. Ce making-of, bien que présentant des

anecdotes intéressantes, reste assez vide dans

son entièreté, car les informations qu'il contient

tiennent plus de l'éloge de telle ou telle

personne que de réèls éléments intéressants.

Cependant, la partie sur les voix est intéressante

puisqu'elle couvre à peu près tous les

personnages et qu'elle nous montre des

entrevues avec les interprètes de ces

personnages, ce qui n'est pas toujours possible.

 

Le supplément qui suit relate les différentes storylines qui ont été abandonnées avant la sortie du film en 1950. Ce bonus, encore plus intéressant que le making-of, est merveilleusement réalisé, racontant avec merveille les différents passages, tout en ajoutant de l'information sur la route qui a mené à la conception finale du film.

 

Le prochain bonus rend hommage aux «Nine Old Men»,

ces hommes qui ont hautement contribué au succès du

studio. Ça partait d'une excellente idée, mais je crois que

ça a été très mal exécuté. Le supplément est très

ennuyeux et n'apprend que des anecdotes qui ne sont

drôles que pour ceux qui l'ont vécu. La seule partie

intéressante arrive à la fin, où ils parlent de Cendrillon

via chaque vieux sage, cela dit, tout avait déjà été dit

dans le making-of.

 

Le suivant, se nommant Le talent de Mary Blair, traite comme vous pouvez vous en douter de cette artiste des studios Disney, qui, selon le documentaire, savait manier les couleurs comme personne. Le bonus comprend en fait deux angles: la biographie de Mary Blair, de sa naissance à sa dernière contribution aux studios Disney et les différentes scènes dans lesquelles sa participation était essentielle. Pour ce dernier angle, on tourne très vite en rond, chacun nous disait que tel ou tel film est celui qui représente le plus le style de Mary Blair. Intéressant donc, mais il aurait facilement pu être plus court sans que ce soit un drame. On aurait pu simplement conserver le côté biographique et le segment sur Cendrillon, je crois.

 

«Comparaison du film au storyboard» suit. Ce

supplément reprend la scène de «Tendre rêve» et

nous présente côte à côté la version finale et la

version storyboard, mélange de dessins et de

prises de vue réelles. Quelques fois peu intéressant,

il devient vraiment captivant lorsque ce sont des

passages non-parlés, car c'est là que les deux

versions diffèrent beaucoup. Il est aussi très

intéressant de voir les décors conçus uniquement

pour les prises de vue réelles!

 

Le prochain bonus est un court-métrage, la version de 1922 de Cendrillon. Inutile de vous dire que la qualité, et ce à tous les niveaux, n'est vraiment pas au rendez-vous, mais c'est tout de même un belle touche d'avoir inclus ce court film dans cette édition. Dans le même ordre d'idée, nous avons aussi un extrait du Mickey Mouse Club, présenté évidemment dans une bien meilleure qualité mais plus dispensable. On y voit surtout l'interprète de Cendrillon chanter Les Harpies, ce qui reste agréable, mais ne donne pas d'information intéressante.

 

Les derniers suppléments sont 6 bandes-annonces

utilisées pour les ressorties de Cendrillon. Elles sont

pour la plupart présentées dans une qualité agréable,

sauf la deuxième, qui a pris de l'âge et les quatrième et

cinquième, qui ont toutes les deux des couleurs plutôt

étranges...

 

La conquête des bonus se termine avec une petite vidéo nous enseignant comment utiliser DisneyFile et les Blu-ray 3D, ce qui est un peu ironique puisque ce dernier n'est pas disponible pour ce film...

 

DVD

                                                            Ce disque s'ouvre avec un menu des langues,                                                                           comprenant les même langues que sur le Blu-ray                                                                     mais avec un design différent, très simple,                                                                                 présentant l'entrée de Cendrillon au bal. M'apparaît                                                                 par la suite le logo de Disney, suivi de l'option                                                                           FastPlay. Nous accédons alors directement au menu                                                               principal si c'est l'option que nous choisissons. Les                                                                   bandes-annonces de Peter Pan en Blu-ray (VF), Les                                                               Mondes de Ralph au cinéma(VFQ), Le Secret des ailes magiques en Blu-ray (VFQ), Princesse Sofia sur Disney Junior(VFQ), Rebelle en Blu-ray (VFQ), le combo 2 films de Cendrillon II: la magie des rêves et Cendrillon III: Les hasards du temps en Blu-ray (VFQ), Trouver Nemo en Blu-ray (VFQ) et de Les Avions au cinéma(VFQ) sont accessibles via le menu principal.

 

Nous en arrivons à ce menu principal, qui

est exactement le même que pour le Blu-

ray, seule la navigation change. En effet,

le choix est ici au bas de l'écran alors qu'il

est à gauche sur le Blu-ray. Comme il est

coutume, le meny des bonus est animé,

présentant des oiseaux sur une fontaine

avec une très jolie transition depuis le

menu principal. Le menu Sélection de

chapitres a pour fond le manoir de

Cendrillon, et reste plutôt sobre. Le menu

Configuration et ses sous-menus

présentent chacun une scène du film. Simple mais efficace.

 

Pas de grande surprise au niveau de la qualité sur DVD. Le film fait beaucoup moins effet que sur le Blu-ray! Ici, il semble plutôt terne et presque irregardable quand on compare au Blu-ray! Certes, aucun défaut de compression n'est visible, seuls les limites du support ne permettent pas au film de briller comme sur le Blu-ray.

 

Peu de bonus ont survécu au transfert sur DVD. Seuls le court-métrage Le mariage de Raiponce et La magie en coulisses: Un nouveau Fantasyland à l'image des princesses Disney sont en effet présents sur le disque. Nous avons également droit à l'introduction de Diane Disney Miller lorsque vient le temps de visionner le film. Rien de bien surprenant, c'est comme ça depuis plusieurs années maintenant. Les deux vidéos promotionnelles du Blu-ray 3D et de DisneyFile sont elles aussi présentes sur le DVD.

Note
Film:
Graphismes:
Image:
Suppléments:
Points bonus:
Total: 73%

J'accorde donc la note de 73% à cette édition, principalement grâce à son film qui est non seulement présenté dans une qualité presque irréprochable mais qui est aussi plutôt bon, malgré le manque d'enjeu auquel on doit faire face. Il n'en reste pas moins que les animations sont magnifiques et que certaines chansons valent le détour. Le mélange de comédie et de drame est également à souligner. Le côté graphique accorde aussi beaucoup de point à cette édition, certainement pas pour son menu très simple, mais bien pour son coffret steelbook au design magnifique. Les suppléments sont eux une grande déception, car peu d'entre eux sont intéressants et aucun n'est assez bon pour excuser ces suppléments moins ou pas du tout pertinents. Heureusement que le coffret vient avec un guide du Blu-ray, car ceci permet à l'édition de gagner un peu de points.

12. Cendrillon
(1950)

 

Une jeune fille utilisée comme servante par sa belle-mère et ses deux demi-soeurs est un jour invitée au bal royal, comme toutes les filles du royaume. Aidée par sa marraine, elle s'y rendra mais le charme de la fée ne dure que jusqu'à minuit. Partant en hâte, elle laisse le prince dans le doute qu'il la reverra un jour.

Date de sortie: 2 octobre 2012

Édition: Diamant

Disponibilité: Oui

Doublage français: 2e doublage

Langues: Français, anglais, espagnol

Sous-titres: Français, anglais, espagnol

Critique

L'édition que je vais critiquer est l'édition Diamant en Blu-ray+DVD de Zone A et de Région 1, dans le coffret exclusif de Future Shop, sorti en 2012 que je me suis procuré en 2012.

 

Film

 

Cendrillon a une place très importante pour le studio. Tel La Petite Sirène en 1989, le film a su sauver la maison d'une faillite certaine après la période difficile de guerre et d'après-guerre. Heureusement, le long-métrage a eu un succès retentissant. 64 ans plus tard, le film a-t-il le même effet sur le public actuel?

 

Dans tous les cas, je ne peux pas dire que le film m'ait laissé une bonne impression. Disons seulement que j'en suis sorti mitigé sur plusieurs points. Du côté de l'histoire, il y a du bon et du moins bon. Elle a tout de même le mérite de bien démarrer, avec une introduction merveilleusement bien narratée mais également bien écrite. On comprend rapidement l'histoire. Pourtant, ça n'empêche l'histoire de s'éterniser, la véritable intrigue ne démarrant que 25 minutes après le début du film. Pendant ces 25 premières minutes, nous sommes introduits à une pléthore de personnages et à leur situation, ce qui aurait pu facilement être fait pendant que l'histoire se raconte.

 

Il reste que ces personnages sont plutôt

bien travaillés et attachants pour la

plupart. J'ai beaucoup aimé le fait qu'on

introduise Gus tout en introduisant

l'aspect bienveillant de Cendrillon, qui

accoure pour l'aider et qui fait preuve

d'une grande gentillesse envers lui. À

l'opposé, on retrouve Lucifer qui est

principalement caractérisé par son côté

malveillant et manipulateur. C'est un

excellent personnage de par sa grande

classe et ses plans pour avoir ce qu'il

veut. Je suis malheureusement un peu

plus mitigé concernant la marraine. Son

côté tête en l'air est génial et je l'aime

beaucoup mais son introduction est un peu étrange. Il aurait été bien de nous présenter au monde des fées marraines avant qu'elle apparaisse pour qu'elle n'est pas l'air de sortir de nulle part. C'est tout du moins l'impression que j'en ai lorsqu'elle arrive.

 

Le prince est sans doute le personnages masculin le moins travaillé du film. Il apparaît au bal puis à son mariage et c'est tout. Il n'a, en ce sens, pratiquement aucune réplique puisque l'une de ces deux scènes est muette et l'autre est en grande partie chantée. Il va falloir attendre encore longtemps avant de voir des Aladdin et des Flynn Rider. D'un autre côté, la belle-mère de Cendrillon est incroyablement machiavélique, son air sévère et sérieux me donnant des frissons à chacune de ses scènes.

 

Son problème, c'est que ses

motivations sont un peu étranges. En

effet, elle n'est cruelle que parce

qu'elle l'est et son désir que ses filles

se marient au prince est peu superflu

puisqu'elle possède déjà la fortune de

son mari décédé. C'est un peu le

problème du film en général,

d'ailleurs. Cendrillon n'a également

comme motivation que de trouver

l'amour, ce qui peut sembler un peu

faible dans un film où il y a un

antagoniste clair. Les enjeux sont

d'ailleurs très peu puissants, aucune

menace réelle n'est portée à

Cendrillon, si ce n'est qu'elle devra

vivre sa vie misérable encore et

encore. Certes, c'est une situation

désagréable, mais en aucun sa vie est-elle menacée au courant du film. Je n'ai pas besoin que quelqu'un risque sa vie pour que j'apprécie un long-métrage, mais dans une oeuvre de cette envergure, disons que c'est ce à quoi je m'attends. Malgré tout, la tension présente à la fin du film est véritablement prenante et permet de bien conclure le tout.

 

Je crois que ce que j'apprécie le plus de Cendrillon, c'est son humour. Il y a là d'excellents gags, que ce soit chez les souris, qui sont toujours très drôles, les oiseaux, personnages plus secondaires, ou le roi et le duc, dont la dynamique est terriblement efficace. Je dois également souligner que les scènes de chasse entre Lucifer et les rongeurs sont incroyablement bien pensés et présentent à chaque fois des éléments originaux qui font à chaque fois rigoler. La scène du cours de chant est également tordante, la réaction de Cendrillon l'étant tout autant.

 

Et parlons-en du chant, et surtout des chansons! Le film en regorge, mais peut d'entre elles ont véritablement capté mon attention. La première, «Tendre rêve», est plutôt jolie et présente de très jolies paroles, très bien

interprétées par Cendrillon (qui a

d'ailleurs la voix parfaite pour le

personnage, autant du point de vue

chanté que parlé). «Doux Rossignol» est

curieusement très jolie et probablement

l'une de mes chansons préférées du

film, aussi étrange que cela puisse

parraître. J'aime beaucoup, d'ailleurs,

l'idée des bulles qui chantent avec

Cendrillon. Suit «Les harpies», ma

chanson préférée du film, qui met tout

de suite le sourire au visage tout en

accompagnant des scènes hilarantes.

«Bibbidi-Bobbidi-Boo» est tout aussi

mythique qu'elle le mérite, elle aussi fort

joyeuse et entraînante, Pour finir, «C'est ça l'amour» reste touchante, mais un peu longuette.

 

                                                                          D'un point de vue de l'image, je ne pourrais                                                                               avoir un point de vue plus mitigé. Je n'aime                                                                               pas le fait que les décors soient en général                                                                                 plutôt vides. Dans le manoir de Cendrillon,                                                                                 par exemple, il y a toujours peu de meubles,                                                                               mis à part dans la chambre de Tremaine,                                                                                   peut-être. Pourtant, le fait que ce qui est                                                                                     représenté soit détaillé (motifs sur les murs                                                                               ou les tapis, etc.) vient au moins rattraper le                                                                               coup. Pour ce qui est des animations, c'est                                                                                 un grand coup de coeur pour moi. Ce                                                                                         procédé doit avoir été utilisé auparavant,                                                                                   mais c'est la première fois que je remarque que des personnages sont animés différemment. Cendrillon est animée de façon naturelle, pour ressembler le plus possible à un être humain que nous croiserions dans la rue. Tremaine reste plutôt statique la plupart du temps, notamment lorsqu'elle nous est introduite, et ses filles sont très agitées, faisant des mouvements complètement impossibles et très «cartoon». J'ai trouvé que c'était une jolie touche qui aidait à définir encore plus les personnages. Je tiens également à souligner les jolis effets engendrés par la fée-marraine mais aussi le choix douteux de la couleur des gardes du prince. Je ne le comprenais pas quand j'étais petit et je ne le comprend toujours pas maintenant. Le noir et le rouge leur donne l'air d'antagonistes, alors qui sont alliés du prince... Il y a toujours un peu de confusion dans ma tête à ce moment du récit.

 

Au final, je n'ai pas détesté regarder Cendrillon, mais l'histoire a si peu d'enjeu qu'elle a eu de la difficulté à m'accrocher. Bien sur, il y a toujours l'humour, les personnages bien travaillés, les jolies chansons et les belles animations, ce pourquoi je trouve tout de même que le film est bon, mais je suis beaucoup moins captivé par l'histoire qui manque un petit quelque chose à mon avis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Packaging

 

L'édition spéciale Future Shop Blu-ray+DVD de Cendrillon est servi dans un magnifique steelbook 2 disques, sans tranche dans le milieu. Avec le boîtier est compris un petit livret publicitaire. À l'intérieur est annoncé: un coffret beauté Cendrillon, une poupée Cendrillon, divers objets Cendrillon, des Lego Cendrillon, des vitamines Disney, une brosse à dents de princesses, Princesse Sofia sur Disney Junior, les parcs Disney, de la pâte à modeler, Le secret des ailes magiques en Blu-ray, Rebelle en Blu-ray, Trouver Nemo en Blu-ray, la collection 2 films des suites de Cendrillon en Blu-ray et Peter Pan en édition Diamant. Le boîtier comprend aussi un guide du Blu-ray, pratique auparavant très utilisée pour les DVD mais qui avait été délaissée il n'y a pas si longtemps. Il inclut un descriptif de quelques bonus et l'annonce des futurs Blu-ray de la collection Diamant(Peter Pan et La petite sirène).

 

La jaquette est elle absolument splendide. Sobre mais à la fois pleine d'effets, elle a vraiment sû m'impressionner. De plus, les effets de profondeur sont extrêmement bien réalisés, surtout au niveau du titre. Seul bémol, le boîtier n'existe pas en version bilingue. Le dos de la jaquette est lui aussi très joli, tout comme l'intérieur, même si on peine à y reconnaître Cendrillon.

 

Le Blu-ray est vraiment affreux, puisqu'il n'y a aucune sérigraphie! On a donc droit à un disque bleu sans image, avec le titres et diverses informations écrites en blanc. Non seulement c'est le premier Blu-ray d'une édition Diamant à recevoir un tel traitement, mais l'édition contient aussi le premier DVD de la collection à n'avoir aucune sérigraphie. C'est quand même affligeant!

 

 

Blu-ray

 

Ce disque s'ouvre avec un menu des langues, comprenant le français, l'anglais et l'espagnol. M'apparaît par la suite le logo de Disney et, par la suite, les bandes-annonces commencent. On débute par Peter Pan en Blu-ray (VF), suivi de Les mondes de Ralph au cinéma(VFQ), Le secret des ailes magiques(VFQ). Accessibles via le menu principal, les bandes-annonces de Princesse Sofia(VFQ), Rebelle en Blu-ray (VFQ), Cendrillon II: La magie des rêves/Cendrillon 3: Les hasards du temps en Blu-ray (VFQ), Trouver Nemo en Blu-ray (VFQ) et de Planes(VFQ) cohabitent avec les bandes-annonces visionnées précédemment.

 

Le menu auquel nous accédons par la suite est fort simple, même beaucoup trop simple. On y voit des extraits du film allant de la transformation au bal, dans un ordre chronologique, entourés de colonnes. Seule la musique vaut le détour, puisque le reste est bien trop simple et court pour vraiment attirer l'attention. La navigation se trouve être très bonne par contre.

 

                                                                        4 options s'offrent à nous quand vient le                                                                                   temps de visionner le film. Nous pouvons                                                                                   simplement le regarder, ou bien commencer                                                                               par une introduction de Diane Disney Miller,                                                                             comme il est devenu coutume sur les éditions                                                                             Diamant. C'est, oui, un bon coup de pub pour                                                                           le musée de la famille, mais aussi une bonne                                                                             approche du film et de son histoire, ainsi que                                                                             de son importance pour les studios. Tout cela                                                                           très résumé, bien entendu. Nous pouvons                                                                                   aussi activer le mode DisneyView, qui                                                                                         remplace les barres noires sur les côtés du                                                                                 film par des  dessins. La 4e option n'est autre qu'une activité: la possibilité de créer sa propre histoire de Cendrillon. Cependant, on entre ici dans la fonction SecondScreen, ce qui fait que je n'ai pu tester cette fonctionnalité, n'ayant pas de second écran. Pour ce qui est du film en tant que tel, il est dans une qualité presque impécable! Malgré quelques grains de temps à autre, l'image est très appréciable et tout à fait digne d'un Blu-ray Disney!

 

Du côté des suppléments, nous

entrons dans Les coulisses de la

production, qui débute par un

bonus sur «La vraie marraine-

fée». Bien qu'il soit très beau de

voir la vie d'une personne qui

s'est autant impliqué dans la

société, il n'en reste pas moins

que le rapport avec le film est très

léger et que ce bonus sur la

femme qui a inspiré le design de

la marraine de Cendrillon n'est

pas très intéressant.

 

Nous pouvons ensuite découvrir le nouveau Fantasyland inspiré des princesses Disney. Nous avons là une vidéo promotionnelle de la reconstruction de cette section mythique du parc, présentée par la Mlle Blanchard (Blanche-Neige) de Once Upon A Time, la série d'ABC. Malgré le but officiel de ce supplément et son lien inexistant avec le long-métrage(on ne parle même pas de Cendrillon), je dois dire que j'ai quand même apprécié, puisqu'on découvre vraiment comment le land est fait, les méthodes utilisées et que, on ne se le cachera pas, toutes ces attractions ont de quoi nous faire rêver!

 

Suit un court-métrage sur la confection de la

nouvelle version des chaussures de Cendrillon par

le Français Christian Louboutin. Ce film est assez

ennuyeux et peu intéressant, surtout que la HD est

très granuleuse et que l'acteur principal, Christian

Louboutin, n'a aucun talent. Logique, ce n'est pas sa

branche. Quoiqu'il en soit, j'aurais franchement pu

me passer de ce supplément.

 

Pour finir avec les coulisses de la production, nous avons une ouverture alternative du film. Enfin un bonus en lien avec Cendrillon! Cependant, il est très peu pertinent vu sa longueur! On n'a droit ici qu'à une séquence très courte, qui, au final, ne diffère pas énormément de la version finale. Nous pouvons toutefois souligner la voix de Cendrillon, qui fournit une belle performance.

 

Nous passons maintenant au court-métrage

«Le mariage de Raiponce», qui pouvait être

découvert en salles avant «La belle et la bête

3D». Il fait maintenant son entrée sur Blu-ray

et on ne se lasse pas de le regarder! La qualité

de l'image est parfaite, on ne pouvait donc pas

demander mieux!

 

Nous entrons maintenant dans la section «Bonus classiques», qui nous présente divers bonus qui étaient déjà présents dans les précédentes éditions du film. Nous commençons par les scènes supprimées, très bien introduites par Don Hahn. Ces deux scènes sont en fait des chansons, toutes les deux magnifiques mais assez mal enregistrées. La voix est aussi assez mal choisie puisqu'elle ne ressemble pas du tout à celle de Cendrillon. Dur, dans ces conditions, de se faire une idée sur la place de ces chansons dans le film.

 

Bonus présents:

 

  • Introduction par Diane Disney Miller(1:16)

  • Un véritable conte de fée: La production de Cendrillon(38:27)

  • La vraie marraine-fée(11:50)

  • Un hommage aux 9 vétérans des studios Disney (22:09)

  • Le talent de Mary Blair(14:57)

  • La pantoufle de Cendrillon rêvée par M. Christian Louboutin(10:03)

  • Comparaison du film au storyboard (6:49)

  • Introduction des scènes coupées(1:54)

  • Scène coupée: Cendrillon au travail(3:18)

  • Scène coupée: Danser sur un nuage(4:29)

  • Séquence d'ouverture alternative(1:13)

  • La Cendrillon qui faillit voir le jour(14:08)

  • Chanson abandonnée: Sing A Little, Dream A Little(2:52)

  • Chanson abandonnée: I'm in the Middle of A Muddle(1:59)

  • Chanson abandonnée: The Mouse Song(1:41)

  • Chanson abandonnée: The Dress My Mother Wore(2:41)

  • Chanson abandonnée: Dancing on A Cloud(3:48)

  • Chanson abandonnée: I Lost My Heart at the Ball(2:08)

  • Chanson abandonnée: The Face That I See in the Night(2:37)

  • Démo originale: Cendrillon(2:15)

  • Court-métrage – Le mariage de Raiponce(6:29)

  • Court-métrage – Cendrillon (Version de 1922) (7:22)

  • La magie en coulisses: Un nouveau Fantasyland à l'image des princesses Disney (8:17)

  • 1ere bande-annonce cinéma(0:23)

  • 2e bande-annonce cinéma(2:20)

  • 3e bande-annonce cinéma(1:24)

  • 4e bande-annonce cinéma(1:31)

  • 5e bande-annonce cinéma(1:56)

  • 6e bande-annonce cinéma(1:24)

  • Extrait de l'émission «Village Store» (2:35)

  • Extrait de l'émission «Gulf Oil Presents» (5:25)

  • Extrait de l'émission Â«Scouting the Stars» (4:25)

  • Extrait de l'émission

       Â«Mickey Mouse Club»

       (3:54)

  • Histoire à lire version

       personnalisée

Critique
Film

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